Violette des landes
Viola canina L. subsp. canina
Etat actuel
Assez rare. Moins fréquent. Signalé dans 18 mailles lors de la cartographie, sans échantillons. Non retrouvé récemment. Il est possible que le taxon soit confondu avec d'autres violettes, notamment V. riviniana.
Nombre d'observations
44
Fréquence
Assez rare
Historiquement
«... dans les pâturages et parmi les bruyères, derrière le bois de la Bâtie, près d'Aïre» (Reuter). «Pas de station connue», «jadis assez commun» (Weber). L 201, 202 (Welten & Sutter).

Hauteur
5-30 cm.
Ecologie
Nival | Alpin | Subalpin | Montagnard | Collinéen |
---|---|---|---|---|
non | non | oui | oui | oui |
Température | Lumière | Continentalité |
---|---|---|
3 | 4 | 3 |
Humidité | pH | Nutriments | Humus | Aération |
---|---|---|---|---|
2 | 2 | 2 | 5 | 1 |
Forme de croissance
- Hémicryptophyte (grande longévité) (bourgeons de survie à la surface du sol; plante florissant et fructifiant plurisuers à de nombreuses années)
Feuillage
- Vert en hiver (wintergreen) (la plupart des feuilles (plus de 70%) sont formées pendant la période végétative, et restent vertes jusqu'au prochain déploiement de feuilles au printemps)
Dispersion des graines
- Autochory (self-dispersion; en particulier, dispersion du fruit et de la graine par expulsion physique, souvent de manière explosive, mais également par repousse à partir de parties végétatives touchant le sol)
- Myrmecochory (dispersion par les fourmis)
Dispersion du pollen
- Autogame (self-pollinisation)
- Melittophile (par les abeilles et bourdons)
- Psychophile (par les papillons)
- Myophile (par les diptères)